Lundi 17 février s’est tenue une HMI à propos des outils numériques.
La plupart des demandes formulées à cette occasion relèvent de l’utilisation des smartphones professionnels par les agentes et les agents de la DAPS*.
*Exception faite du logiciel ELAP dédié aux missions (déplacements) des conservatrices et des conservateurs qui est fastidieux à renseigner correctement et mal paramétré (validation le jour-même, pas de billets Ouigo,…).
A la fin de la réunion les espaces dédiés aux personnels de la DAPS ont également été évoqués.
Ce communiqué a donc vocation à se faire cahier de doléances.Au sujet des outils numériques.

Il faut tout d’abord constater que certaines fonctionnalités amènent un vrai plus : ORA remplace avantageusement les formulaires à remplir dans les bureaux de régions et les groupes WhatsApp permettent une bien meilleure communication instantanée et une coordination des actions.
Cela dit beaucoup reste à faire en matière de formations. Que ce soit les organisations syndicales en instances ou les référent/e/s smartphones auprès du service informatique, la demande de formation est restée sans réponse. Les agentes et les agents qui le demandent doivent pouvoir être formés à l’utilisation des smartphones professionnels. Ne peut-on notifier cela lors des entretiens professionnels ?
Les messageries sont rapidement saturées d’autant qu’il n’est pas possible de trier les mails en fonction de leur poids sur le téléphone. De ce fait la suppression des anciens messages est laborieuse quand elle est faite. Des boîtes mails saturées ne sont plus utilisées.
La consultation de Mercure n’est pas adaptée à l’écran des téléphones et la recherche est fastidieuse car les informations sont éclatées sur le site. Par exemple, la simple présence/absence d’œuvres dans les salles est un vrai casse-tête.
Les racks de chargeurs disponibles à l’Oratoire sont très souvent pleins et/ou défectueux et les salles de pause sont souvent hors réseau.
Argos est un outil très contesté. Au mieux les remontées se font simplement et les services concernés envoient un mail de prise en charge. Au pire le réseau n’est pas disponible à proximité et l’arborescence est si complexe qu’on se demande si le signalement en vaut encore la peine. Il est plus simple d’envoyer un mail aux bons interlocuteurs avec son smartphone professionnel en y joignant une ou plusieurs photos que de passer par Argos où, par ailleurs,une nouvelle photo/vidéo écrase la précédente.
De toute façon, pas moyen d’obtenir l’historique des remontées faites sur le district et le suivi des prises en charge. Quand aux affectations quotidiennes, comme l’importation de fichiers n’est pas autorisée, il faut tout re-saisir sur son clavier tactile…
Plus généralement il est à noter que dans le cadre de leurs missions les agentes et les agents posté/e/s sont régulièrement sollicité/e/s par leurs smartphones professionnels ce qui peut entraîner un réel accaparement.
Au sujet des espaces dédiés aux personnels de la DAPS.
Ils peuvent être :
– très sales (canapés dans les salles de repos à l’accueil des groupes, vestiaires),
– mal équipés (salle de repas de l’Oratoire avec trop peu de micro-ondes, de places assises, pas d’eau chaude pour la vaisselle, sanitaires sans papier hygiénique et sans savon),
– mal conçus (salle de repos de l’Oratoire sans isolation phonique et visuelle),
– mal chauffés (salles de pause Pavillon des Sessions)
– mal aménagés (nouvelle salle de pause à Richelieu où repas et repos doivent cohabiter).
Au moment où de grands travaux sont annoncés en fanfare, quels sont les équipements et les services prévus pour les personnels ?
Où en est leur entretien ? Y aura t-il de nouveaux espaces ? Etrangement dans les médias personne n’en parle… Nous oui !
